Pour tous les amateurs de Trip-Hop, Chill-out, Big Beat, Electro, ou encore Up/Downtempo Ninja Tune n'est plus à présenter tellement la maison fait référence ; mais pour les profanes, une mise au point s'impose.
Depuis le début LDG s'est efforcé de dénicher des artistes de derrière les fougères de la jungle musicale mais que savez-vous des maisons qui les produisent, véritables temples sonore qui incarnent toute une génération d'artistes et de genres ? Alors aujourd'hui laissez-moi aller un peu plus loin en vous faisant découvrir un label qui vaut le détour : NINJA TUNE.
Tout commence en 1993, lorsque que les DJs brittaniques Matt Black et Jonthan Moore ou plus communément appelés Coldcut décident de monter ce bijoux musical. Ils lancent également deux sous-labels plus spécialisés : Big Dada pour le hip-hop et Ntone pour la techno.
Cependant, la matière première de Ninja Tune c'est ces accros du beat propre, ces fouineurs de samples, ces magiciens de l'arrangement électronique. Ainsi, on peut compter parmi ses rangs des légendes comme (par ordre alphabétique) : Amon Tobin, Blockhead, Bonobo, The Cinematic Orchestra, Dj Food, Dj Vadim, The Herbaliser, Mr Scruff, Oneself, TTC, ou encore Zerodb pour les plus célèbres.
Évidement, tous ces artistes feront l'objet d'articles ultérieurs tant leurs profils sont uniques.
Commencons par mon coup de coeur: The Cinematic Orchestra.
Nu-Jazz, trip-hop, downtempo, Acid-Jazz, l'expertise musicale de ce groupe formé par Jason Swinscoe ne semble pas avoir de limites. Mais pourquoi ce nom ? En effet, de cinematic le groupe n'en a que le nom car l'essentiel de ses apparitions en bande sonore concernent des soaps américains et quelques pubs. Mais à l'écoute des albums, tâtonnant entre le jazz et l'électro soft, on se laisse facilement transporter, comme dans un film, la musique se substituant aux images. The Cinematic Orchestra compte plusieurs albums: Motion (1999), Every Day (2002), Man with a Movie Camera (2003), Ma Fleur (2007). Les premiers étant très jazzy, on note une graduation vers un mélange de soul, chill-out teinté parfois d'électro, le tout parfois accompagné de featurings avec des artistes comme Fontella Bass ou le montréalais Patrick Wattson. En fait, il est difficile de qualifier leur musique tant le genre est particulier, mais si vous cherchez un bon et intense moment de détente physique et auditive, The Cinematic Orchestra est la solution optimale: voici une petite sélection de titres qui vous relaxeront sans nul doute.
Depuis le début LDG s'est efforcé de dénicher des artistes de derrière les fougères de la jungle musicale mais que savez-vous des maisons qui les produisent, véritables temples sonore qui incarnent toute une génération d'artistes et de genres ? Alors aujourd'hui laissez-moi aller un peu plus loin en vous faisant découvrir un label qui vaut le détour : NINJA TUNE.
Tout commence en 1993, lorsque que les DJs brittaniques Matt Black et Jonthan Moore ou plus communément appelés Coldcut décident de monter ce bijoux musical. Ils lancent également deux sous-labels plus spécialisés : Big Dada pour le hip-hop et Ntone pour la techno.
Cependant, la matière première de Ninja Tune c'est ces accros du beat propre, ces fouineurs de samples, ces magiciens de l'arrangement électronique. Ainsi, on peut compter parmi ses rangs des légendes comme (par ordre alphabétique) : Amon Tobin, Blockhead, Bonobo, The Cinematic Orchestra, Dj Food, Dj Vadim, The Herbaliser, Mr Scruff, Oneself, TTC, ou encore Zerodb pour les plus célèbres.
Évidement, tous ces artistes feront l'objet d'articles ultérieurs tant leurs profils sont uniques.
Commencons par mon coup de coeur: The Cinematic Orchestra.
Nu-Jazz, trip-hop, downtempo, Acid-Jazz, l'expertise musicale de ce groupe formé par Jason Swinscoe ne semble pas avoir de limites. Mais pourquoi ce nom ? En effet, de cinematic le groupe n'en a que le nom car l'essentiel de ses apparitions en bande sonore concernent des soaps américains et quelques pubs. Mais à l'écoute des albums, tâtonnant entre le jazz et l'électro soft, on se laisse facilement transporter, comme dans un film, la musique se substituant aux images. The Cinematic Orchestra compte plusieurs albums: Motion (1999), Every Day (2002), Man with a Movie Camera (2003), Ma Fleur (2007). Les premiers étant très jazzy, on note une graduation vers un mélange de soul, chill-out teinté parfois d'électro, le tout parfois accompagné de featurings avec des artistes comme Fontella Bass ou le montréalais Patrick Wattson. En fait, il est difficile de qualifier leur musique tant le genre est particulier, mais si vous cherchez un bon et intense moment de détente physique et auditive, The Cinematic Orchestra est la solution optimale: voici une petite sélection de titres qui vous relaxeront sans nul doute.
2 commentaires:
jpourrai faire un article si tu veux sur un des ninjas, je kiffe trop!
Ouais Carrément ! y'en assez pour tout le monde !
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